Conseil de TIMBERSHOP:
La MS 400 C-M a été revue par STIHL. L’ancienne version MS 400.0 est remplacée par la version MS 400.1. La nouvelle version sera plus légère et le prix catalogue un peu moins élevé. Cependant, le piston en magnésium a été abandonné pour des raisons de coût et la nouvelle version a une cylindrée légèrement inférieure, une puissance légèrement inférieure et un régime maximal moins élevé que la MS 400.0.
Pour cette raison et parce que la MS 400.0 est une scie très appréciée et qui a fait ses preuves, nous avons à nouveau acheté une grande quantité de l’ancienne variante que nous pouvons maintenant proposer à un prix de vente attractif.
Vous trouverez ici un comparatif des principales caractéristiques techniques :
MS 400.0 C-M | MS 400.1 C-M | |
Prix catalogue (version 45 cm) [CHF] | 1670.- | 1600.- |
Performance [kW / PS] | 4.0 / 5.4 | 3.9 / 5.3 |
Cylindrée [cm3] | 66.8 | 62.6 |
poids | 5.8 | 5.5 |
Vitesse maximale [U/min] | 14’000 | 13’800 |
Piston en magnésium | oui | non |
La tronçonneuse STIHL MS 400.0 C-M est la première tronçonneuse au monde à être équipée d’un piston en magnésium. En combinaison avec une construction légère conséquente, il en résulte un rapport poids/puissance extrêmement bas de moins de 1,45 kg/kW. La MS 400.0 C-M est équipée pour la première fois d’un tout nouveau moteur STIHL de 67 cm³ d’une puissance de 4,0 kW.
Piston au magnésium
Pour la première fois au monde, STIHL a monté un piston en magnésium sur la MS 400.0 C-M. Il pèse 20 grammes de moins qu’un piston en aluminium comparable, ce qui correspond à une réduction de poids de 25 %, rien que sur cette pièce centrale. L’utilisation de ce matériau léger, associée à la construction allégée systématique de la MS 400.0 C-M, permet d’obtenir un poids de moteur de seulement 5,8 kilogrammes et donc un rapport poids/puissance extrêmement faible, inférieur à 1,5 kilogramme par kilowatt. En même temps, le nouveau composant confère à la machine une vitesse de rotation maximale énormément élevée, ce qui contribue surtout à la progression du travail lors de l’ébranchage.